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[...Chronicles of an ordinary life...]
26 février 2006

Comme un air de déjà detesté....

...suite du post du 12 Décembre....

....Les au-revoirs me paraissent toujours aussi haïssable....je hais le fait de devoir se dire au-revoir chaque fin de week-end (ou de dimanche après-midi, quand on a que le temps de se voir qu'une demi journée) sur le quai de la gare.... mais je dois pourtant m'y faire, l'accepter, aussi dure que cela puisse être....

Quitter pour mieux se retrouver...

....n'est pas ce que l'on dit ?

Edit du 26 Février : Je hais aussi les départs
                     Je hais les attentes
                     Je hais le manque que cela me provoque
                     Je hais le fait de ne pas réussir à oublier ce manque juste le temps d'une journée....
                     Je sais, je fais chier, je ne devrais pas me plaindre, j'ai quelqu'un qui m'aime, je devrais m'estimer heureux, mais bon, j'fais c'que je veux, c'est mon blog après tout !! Donc je me plains si je veux ! Non mais!!

                     

200118291_0011

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Commentaires
B
hum c'est fait pr ça un blog non?<br /> <br /> Biz et bonne semaine quand mm<br /> Black Eagle
A
Tu as raison, Many : fais ce que tu veux ; sois aussi malheureux que tu le voudras sur ton blogue... mais seulement sur ton blogue ;o)<br /> Dans la vie, sois heureux ! ;o)
A
Je suis un peu comme toi, Many. Je n'aime pas quitter ceux que j'aime, surtout quelqu'un que j'aimerais un peu plus que les autres... Le secret, je crois (cela m'a souvent aidé), c'est qu'au lieu de penser à l'absence de l'autre que je vais laisser sur le quai, j'essaie de vivre pleinement sa présence en moi, je revis en pensée nos conversations, nos partages, j'essaie de sentir le mieux possible la joie, la chaleur qui se crée en moi quand je suis avec cette personne. Je me concentre sur la joie de la connaître, sur le bien-être qui s'installe en moi à cause de cette présence... Et tout le temps que je passe loin de cette personne, c'est du temps consacré à enrichir ce que j'aurai à partager la prochaine fois que nous serons réunis...
[...Chronicles of an ordinary life...]
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